Il y avait en moi un champs laissé depuis si longtemps si longtemps en jachère,
que je ne savais même plus avec quelles semences fertiliser sa terre.
Abandonné, des herbes folles y avaient poussé, empêchant son accès.
Mille fois pourtant me fût donnée l'occasion de le désherber...
D'aimables sourires me proposaient de m'aider à le cultiver,
leurs engrais semblaient douteux, je ne les ai jamais accepté.
Malgré leurs habits de lumière, une désagréable odeur était restée,
si forte, que malgré l'habile ruse, je ne pouvais l'ignorer.
J'ai donc préféré garder ma friche, plutôt que me vendre à elle...
Jusqu'à ce qu'arrive ce que je n'attendais plus : L'étincelle.
Alors, j'ai pris mes outils, j'ai creusé, semé, arrosé, pleuré, aussi prié,
et soudain, encore fragile, encore frippée, une vie sous le soleil est née.
Un enfant à choyer, à adorer, à bercer, mais surtout à protéger...
Je voulais être là chaque instant près de lui pour l'encourager,
je savais à présent sur qui veiller, j'avais un petit être à élever...
Il avait tant à aimer, à apprendre de cette terre qui l'avait porté, lui avait donné de sa vie,
tant de beautés à regarder, de chants à partager, que pour lui, à exister, j'ai appris.
que je ne savais même plus avec quelles semences fertiliser sa terre.
Abandonné, des herbes folles y avaient poussé, empêchant son accès.
Mille fois pourtant me fût donnée l'occasion de le désherber...
D'aimables sourires me proposaient de m'aider à le cultiver,
leurs engrais semblaient douteux, je ne les ai jamais accepté.
Malgré leurs habits de lumière, une désagréable odeur était restée,
si forte, que malgré l'habile ruse, je ne pouvais l'ignorer.
J'ai donc préféré garder ma friche, plutôt que me vendre à elle...
Jusqu'à ce qu'arrive ce que je n'attendais plus : L'étincelle.
Alors, j'ai pris mes outils, j'ai creusé, semé, arrosé, pleuré, aussi prié,
et soudain, encore fragile, encore frippée, une vie sous le soleil est née.
Un enfant à choyer, à adorer, à bercer, mais surtout à protéger...
Je voulais être là chaque instant près de lui pour l'encourager,
je savais à présent sur qui veiller, j'avais un petit être à élever...
Il avait tant à aimer, à apprendre de cette terre qui l'avait porté, lui avait donné de sa vie,
tant de beautés à regarder, de chants à partager, que pour lui, à exister, j'ai appris.